Et si dans l’affaire DSK on parlait de « victime présumée » ?
Depuis dimanche, les médias traitent l'affaire Dominique Strauss-Kahn sur un plan strictement politique. On parle beaucoup de présomption d'innocence pour l'agresseur présumé, un peu d'un complot contre lui, on commence juste à aborder le point de vue de la plaignante.