Chronique de violences ordinaires
Il en faut, des violences subies, pour que les femmes osent demander de l’aide. Avant cela, elles « patientent », subissent sans rien dire, cherchent une amie qui, à défaut de les aider, leur fera chaud au cœur. Mais il suffit de tendre l’oreille, de regarder autour de soi pour identifier cette insupportable souffrance. Comme en témoignent les réalités de Marie-Antoinette, Aminata, Jeanne et Anna.