Les femmes encore trop peu visibles dans les médias
Une enquête intitulée « The Missing Perspective of Women in News » (Salles de rédaction, couverture médiatique : où sont les femmes), réalisée par Luba Kassova, co-fondatrice et directrice du…
Une enquête intitulée « The Missing Perspective of Women in News » (Salles de rédaction, couverture médiatique : où sont les femmes), réalisée par Luba Kassova, co-fondatrice et directrice du…
Chaque année, plus de 216.000 femmes sont victimes de violences de la part de leur ancien ou actuel conjoint, et 84.000 femmes sont victimes de viols ou de tentatives de viols.…
Depuis la déclaration de l'état d'urgence le 20 juillet 2016, en Turquie 146 médias de presse et de radiodiffusion ont été fermés. Le gouvernement turc mène ces attaques contre les…
A l’occasion de la soirée de lancement du 2ème numéro de «Well Well Well», la revue faite par des filles pour les filles qui aiment les filles, nous avons rencontré…
Natacha Henry est journaliste, autrice et formatrice. Les 40 journalistes qui ont publié le 4 mai dernier dans Libération une tribune contre le sexisme des hommes politiques ont cité un…
50-50 magazine est né le 22 avril 2014. Il souffle aujourd'hui sa première bougie. Depuis le 22 avril, nous avons traité toutes les thématiques : le sport, la politique, l’économie,…
Les Pénélopes créées en 1996 fut la première agence de presse féministe mondiale. Dix ans après la fin de cette belle histoire, deux des fondatrices ont eu envie de partager…
En plein débat sur le mariage pour tous, un fait divers certes peu banal, devient pour le figaro.fr le prétexte d'un concentré de raccourcis sexistes et homophobes. Coïncidence ?
Si aujourd'hui les travaux sur le genre se sont développés, la recherche a longtemps ignoré la question du genre et des médias. Marlène Coulomb-Gully, professeure à l'Université de Toulouse 2, nous éclaire sur la place des femmes et les études à mener pour une plus juste égalité entre les sexes dans les médias.
Les violences conjugales sont présentées dans les pages « société » comme inacceptables. Or, lorsque les quotidiens les relatent dans les rubriques « faits divers » ou « tribunal », ces violences sont trop souvent traitées de manière paradoxale : minimisation des faits, terminologies erronées, culpabilisation des victimes, amusement…