Syndicats, associations et politiques, dont les trois candidats à la présidentielle Eva Joly, Jean-Luc Mélenchon et Philippe Poutou, ont fait le déplacement aux Lilas pour soutenir la maternité et défendre les droits des femmes et le service public de santé. Petites phrases et diaporama.
Le projet de reconstruction de cette maternité de Seine-Saint-Denis – réputée pour son approche de la parentalité et son écoute des femmes – retenu et validé par le ministère de la Santé, a été suspendu par l'ARS Ile-de-France en juin dernier. Le collectif de soutien appelle à une manifestation nationale le 24 septembre.
Alors qu'un rapport de l'Igas soulignait en juin dernier l'importance du travail des organismes de planification, d’information, de conseil et d’éducation familiale et leur manque de moyens, le centre d'information sur la sexualité et la contraception du Planning familial des Alpes-de-Haute-Provence ne reçoit plus depuis 2010 de subventions de la part de l'ARS Paca.
L’Association nationale des centres d’interruption de grossesse et de contraception (Ancic) a commandé une enquête sur la place des hommes dans le processus de l'interruption volontaire de grossesse. Nicolas Divert, sociologue, et Magdalena Jarvin, ethnologue, ont réalisé cette étude et répondu à nos questions.
Comment se portent les étudiant-e-s ? C'est la question à laquelle trois enquêtes menées par les mutuelles étudiantes ont tenté de répondre en mai dernier. Résultats : les jeunes femmes se disent plus tristes et plus stressées que les jeunes hommes.
Depuis janvier 2011, les mineures franciliennes ont un accès facilité et gratuit à une méthode de contraception, dans le respect le plus complet de leur anonymat.
Trois associations engagent une action juridique pour que soient respectées « en droit et en fait » les lois et réglementations relatives à l'interruption volontaire de grossesse.
Lundi 25 octobre, à l’occasion d’une séance portant sur l’examen du projet de loi de finance de la sécurité sociale, le collectif les Matermittentes s’est réuni devant l’Assemblée nationale pour réclamer des droits pour les intermittentes.
Tout médecin peut refuser de pratiquer un avortement, même dans les États dans lesquels cette pratique est légale ou dépénalisée. C’est ce que stipule la résolution récemment adoptée par le Conseil de l’Europe.
Oxfam France, Médecins du monde et Action for Global Health ont mené la campagne « Non assistance à mères en danger » qui s'est terminée fin septembre. Bilan par Julien Potet, responsable de plaidoyer à Oxfam.