Dans un communiqué du 11 juillet, La Ligue des droits de l’homme s’insurge contre la dissolution de l’association nantaise D’une rive à l’autre qui aidait les femmes victimes de violences sexuelles à mener des actions en justice et à se reconstruire. D’une rive à l’autre a du cesser ses activités par manque de subventions.
La Ligue des droits de l’homme tient à rappeler que le gouvernement n’a pas tenu ses engagements : « En 2010, année décrétée par le premier ministre » année contre les violences faites aux femmes « , l’Etat a cessé de financer l’association. Malgré la création d’un comité de soutien, les mobilisations diverses et les interpellations, l’Etat a confirmé son désengagement. »