Connaissez-vous le préservatif féminin ?

Les étudiants-relais santé/sexualité du Service inter-universitaire de médecine préventive et de santé des étudiants de Bordeaux (SIUMPS), ont réalisé un clip de promotion du préservatif féminin, avec le soutien de l’Agence régionale de santé d’Aquitaine.

Camouflage

« Tu m’as traitée de Princesse, là ? », par Myriam Houssay-Holzschuch Episode 9

Licenci’elles : des licenciées des 3 Suisses contre les licenciements boursiers

L'entreprise de vente à distance licenciait 250 personnes en janvier dernier. Parmi elles, 149 femmes travaillaient dans les boutiques de l'enseigne. Des salariées et ex-salariées, écœurées des conditions de licenciement, ont créé l'association Licenci'elles pour aider les femmes en lutte contre les licenciements économiques dans les entreprises faisant des bénéfices. Interview de Marie-Christine Lecomte, secrétaire de l'association.

Les femmes au Venezuela : paradoxes d’un pays en plein bouleversement

Qu'en est-il de la place des femmes dans la société vénézuélienne ? Si les femmes sont particulièrement investies en politique, le rêve de la reine de beauté et le modèle de la mère de famille persistent. Et si l'accent est mis sur l'accès à l'éducation et à la santé, qui profite surtout aux femmes, la politique d'Hugo Chavez en direction reste ambiguë...

Un partage des tâches toujours inégal

L’écart moyen entre le temps consacré aux activités domestiques par les hommes et les femmes se réduit. Mais les moyennes sont trompeuses. En effet, si les femmes consacrent 66 minutes de moins aux tâches domestiques qu’il y a vingt-cinq ans, les hommes y consacrent seulement 6 minutes de plus.

Programme de Nicolas Sarkozy : et l’égalité femmes-hommes ?

Après avoir renoncé, le jour même, à l'invitation du magazine «Elle», adressée aux candidat-e-s de venir s'exprimer sur la question des femmes, Nicolas Sarkozy dévoilait hier son programme. Mis à part la création de 200 000 places en crèche, rien dans cet ensemble de mesures ne prévoit de faire progresser l'égalité femmes-hommes. Réactions.

IVG : non, je ne regrette rien !

Le 5 avril 1971, dans un manifeste publié dans "Le Nouvel Observateur", 343 femmes déclaraient avoir avorté. Le 5 avril 2012, Osez le féminisme célèbre cet anniversaire en publiant sur "Le plus du nouvelobs.com la tribune Arrêtons de culpabiliser les femmes qui avortent, elles ne sont pas irresponsables, de Julie Muret, porte-parole de l'association. Article illustré par la vidéo IVG : non, je ne regrette rien !

DOSSIER : Les femmes de la Méditerranée en mouvement

FFMEDCréé par des femmes déterminées à renforcer les mouvements en faveur de l’émancipation des femmes, le Fonds pour les Femmes en Méditerranée soutient financièrement depuis 10 ans les associations qui œuvrent en ce sens dans les 21 pays de Méditerranée.

Grâce à sa longue expérience dans les mouvements de femmes de la région, le Fonds pour les Femmes en Méditerranée a une connaissance concrète du travail et des difficultés que peuvent rencontrer les associations de femmes autour de la Méditerranée.

Conçu tout d’abord pour soutenir financièrement les associations de femmes, le Fonds pour les Femmes en Méditerranée a étendu depuis, son champ d’action vers d’une part le renforcement de la relève générationnelle du mouvement des femmes et d’autre part la mise en réseau des associations.

Ainsi depuis 2011, il propose aux organisations de femmes de différents pays méditerranéens de se rencontrer autour d’un atelier de travail permettant l’échange et l'élaboration de réflexions stratégiques destinés à faire avancer la question de l’égalité entre les femmes et les hommes.

Partant du constat que les femmes méditerranéennes rencontrent les mêmes difficultés, à des échelles différentes, le Fonds a déjà tenu 10 rencontres dans 6 pays : en Egypte, en Tunisie, en Algérie, en Croatie, en Libye et en France.

Le 5 juillet 2017, à Paris, la 10éme rencontre réunissait des participantes venues d’Italie, de Croatie, du Monténégro, de Bosnie, de Turquie, du Liban, de Palestine, d’Egypte, de Tunisie, d’Algérie, et du Maroc.

Ce temps dédié à la réflexion stratégique a permis aux participantes d’établir non seulement la liste des priorités pour les femmes qui défendent l’égalité et l’émancipation dans la région, mais de réfléchir à la mise en oeuvre d’un tissage et d’un brassage plus systématique entre activistes au niveau local, subrégional et régional afin d’asseoir les bases d’un réseau solide.

Elles travaillent dans un fonds de gestion participatif, un journal féministe, un collectif féministe sur le harcèlement de rues, elles sont élue au conseil municipal de leur ville, magistrate ...

Rada Boric (Croatie), Nevin Öztop (Turquie), Amina Izaroukena (Algérie), Anware Mnasri (Tunisie) et Farah Barqawi (Palestine) témoignent de leur engagement.

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