Brèves Orange Days : ensemble contre les violences faites aux femmes et aux filles

En France et dans le monde entier, les femmes et les filles sont les premières victimes de violences.

Sous toutes leurs formes (intrafamiliales, sexuelles, sexistes, mutilations génitales féminines, mariages forcés, cyberviolences) les violences affectent les femmes tout au long de leur vie et leurs conséquences sont multiples et dévastatrices.

Aujourd’hui, la situation est particulièrement critique : la pandémie de la COVID-19 et ses conséquences catalysent ces violences, notamment les violences domestiques. En France, les signalements ont augmenté de 30% lors du premier confinement national.

Nous avons besoin de vous pour soutenir les victimes d’aujourd’hui et prévenir celles de demain.

Comment agit ONU Femmes ? 

En finançant des programmes de terrain, ONU Femmes se bat et agit pour la prévention et l’élimination des violences envers les femmes et les filles dans le monde entier. Au total, ce sont 460 programmes déployés à travers 136 pays qui apportent des solutions concrètes et opérationnelles aux femmes victimes de violences !

Découvrez le témoignage d’Aisha, prise en charge par ONU Femmes

« J’ai essayé de crier, mais il m’a couvert la bouche avec ses énormes mains et m’a tirée jusqu’à son lit. C’était horrible et tout ce que je voulais c’était qu’il arrête. (…) Je suis rentrée à la maison et j’ai raconté ce qui s’était passé à la première personne qui, je croyais, allait m’aider, mon père. Il a dit qu’il allait d’abord m’examiner. Et c’est là que tout a recommencé. »

Aisha, 12 ans, vit désormais dans un refuge dans la région côtière du Kenya, avec 34 autres enfants qui ont subi des violences. Depuis son témoignage, les coupables ont été arrêtés et l’affaire est au tribunal.

ONU Femmes collabore et soutient ce refuge afin d’assurer que les services essentiels (conseils psychosociaux, aide juridique gratuite, kits d’hygiène, nourriture et autre produits de première nécessité, etc.) soient disponibles pour les survivant·e·s de violences pendant la pandémie de la COVID-19.

ONU Femmes

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